On
ne compte plus les artistes pour
lesquels Jean-Jacques Goldman a écrit des chansons et composé des musiques.
Parmi eux figurent Johnny Hallyday, Céline Dion, Patricia Kaas, Khaled, Florent
Pagny, Marc Lavoine, Philippe Lavil, Robert Charlebois, Joe Cocker. Roch Voisine,Tina
Arenas... Avec, à chaque fois ou presque, un tube assuré, une carrière remontée,
un publie comblé. En fait tout a commencé en 1985 avec l'aventure des Restos
du coeur pour lesquels Goldman a écrit « la Chanson des Enfoirés ». Ensuite,
il s'est attaqué à l'album « Gang » pour Hallyday, et Marc Lavoine a fait appel
à lui pour son album « Forever ». Tout en se cachant derrière des pseudonymes
(S, Oats, OMedor, Sam Brewsky, etc.), il a également travaillé pour Patricia
Kaas et Florent Pagny, composé le tube « Aïcha » pour Khaled et surtout l'aibum
« D'eux», celui du triomphe de Céline Dion. Plus récemmerit il a signé les paroles
de « J'en rêve encore » de Gérald de Palmas, un des succès de L'année.
Les
grands artistes s'adressent à lui :
TOULOUSE
Jean Jacques Goldman (Ici avec Serge Lama )
A participé au concert organisé par
Francis Cabrel au profit des sinistrés de l'explosion de l'usine AZF





Chansons pour les pieds festif
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DANS SON NOUVEAU DISQUE «Chansons pour les pieds»,
qui sort aujourd'hui, Jean-Jacques Goldman ne cache pas son jeu Les « pieds
» auxquels il fait allusion, ce sont ceux qui servent à danser dans les bals
populaires. Ainsi, au fil de ces douze nouveaux morceaux, il passe en revue
douze styles musicaux différents, du rock au slow en passant par la fanfare,
la gigue et le disco. Le tout avec une préférence pour les rythmes et les
instruments celtiques, palpable dans les titres « Et l'on n'y peut rien »
et « Tournent les violons ». Mais Goldinan excelle dans les ballades. Sur
cet album les morceaux « la Pluie », « Si je t'avais pas » et « Je voudrais
vous revoir » (qualifié, dans l'épais livret joliment illustré, de «zouklent»)
se détachent nettement de cet ensemble festif où rorchestre Goldman, bien
remonté, s'en donne à coeur joie.
Critique
du Parisien
Jean-Jacques
GOLDMAN