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Humour
On ne compte plus les artistes pour lesquels Jean-Jacques Goldman a écrit des chansons et composé des musiques. Parmi eux figurent Johnny Hallyday, Céline Dion, Patricia Kaas, Khaled, Florent Pagny, Marc Lavoine, Philippe Lavil, Robert Charlebois, Joe Cocker. Roch Voisine,Tina Arenas... Avec, à chaque fois ou presque, un tube assuré, une carrière remontée, un publie comblé. En fait tout a commencé en 1985 avec l'aventure des Restos du coeur pour lesquels Goldman a écrit « la Chanson des Enfoirés ». Ensuite, il s'est attaqué à l'album « Gang » pour Hallyday, et Marc Lavoine a fait appel à lui pour son album « Forever ». Tout en se cachant derrière des pseudonymes (S, Oats, OMedor, Sam Brewsky, etc.), il a également travaillé pour Patricia Kaas et Florent Pagny, composé le tube « Aïcha » pour Khaled et surtout l'aibum « D'eux», celui du triomphe de Céline Dion. Plus récemmerit il a signé les paroles de « J'en rêve encore » de Gérald de Palmas, un des succès de L'année.
Les grands artistes s'adressent à lui :
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Le Parisien du 20 Nov 2001

TOULOUSE

Jean Jacques Goldman (Ici avec Serge Lama )

A participé au concert organisé par Francis Cabrel au profit des sinistrés de l'explosion de l'usine AZF

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Chansons pour les pieds festif ****

DANS SON NOUVEAU DISQUE «Chansons pour les pieds», qui sort aujourd'hui, Jean-Jacques Goldman ne cache pas son jeu Les « pieds » auxquels il fait allusion, ce sont ceux qui servent à danser dans les bals populaires. Ainsi, au fil de ces douze nouveaux morceaux, il passe en revue douze styles musicaux différents, du rock au slow en passant par la fanfare, la gigue et le disco. Le tout avec une préférence pour les rythmes et les instruments celtiques, palpable dans les titres « Et l'on n'y peut rien » et « Tournent les violons ». Mais Goldinan excelle dans les ballades. Sur cet album les morceaux « la Pluie », « Si je t'avais pas » et « Je voudrais vous revoir » (qualifié, dans l'épais livret joliment illustré, de «zouklent») se détachent nettement de cet ensemble festif où rorchestre Goldman, bien remonté, s'en donne à coeur joie.

Critique du Parisien
Discographie
Repére
Jean-Jacques GOLDMAN